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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 23:10
Seissan
11/07/2014

Sous la grande halle

Le Petit Journal | Gers | Locale | Pendant l'exposé de Mme le Sous-Préfet
( Pendant l'exposé de Mme le Sous-Préfet)
-+
l’initiative de Martine Pédoussaut, c’est à Seissan qu’a été célébré le 150e anniversaire de la Croix Rouge dans le cadre du département. Etaient représentés les antennnes d’Auch, Cazaubon, Condom, Eauze, l’Isle Jourdain, Lombez, Masseube, Mirande en présence de Jean Carensac, Président régional, de Marie-Josée Lier, Présidente départementale et de nombreux bénévoles. Aussi la halle au gras, illustrée par des dessins d’enfants, était aux couleurs de la vénérable association mise sur pied au lendemain de la terrible bataille de Soférino, Henry Dunan ne supportant plus de voir les morts laissés sans sépultures et les blessés agonisant sans pouvoir recevoir des soins. Invitée, Mme le Sous-Préfet de Mirande représentant M. le Préfet du Gers, indisponible, a d’ailleurs fait l’historique de la Croix Rouge et son évolution jusqu’à ce jour en évoquant ses sept grands principes actuels, Gilles Amarger, 1er adjoint représentait Monsieur le Maire et Bastien Porta la caserne des sapeurs pompiers. A l’heure de l’apéritif, la chorale Mêl-i Mêl-o dirigée par Jean Labelle a chanté les sept principes, terminant par l’hymne écrit spécialement pour l’occasion. Avant de passer à table, Martine Pédoussaut a reçu un diplôme et une médaille de reconnaissance pour son investissement auprès de la Croix Rouge. L’après-midi ayant été consacré à différentes discussions et rencontres, la journée ne pouvait que se terminer sur une note pleine d’espérance, c’est-à-dire en musique pendant l’apéritif dinatoire servi au bénéfice de l’association. C’est l’Harmonie fleurantine qui fête d’ailleurs cette année son 140e anniversaire qui a assuré avec beaucoup de brio la partie musicale en présence de Mme la Conseillère Générale Fatma Adda. A la fois, signe de remerciements envers les musiciens et symbole de la solidarité que représente la Croix Rouge, lors du dernier morceau, les convives se sont levés et ont entouré les musiciens, faisant la chenille de l’amitié.
Le Petit Journal
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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 13:45
Emouvante cérémonie pour les obsèques civiles de Bertrand Rambour, maire de Valence-sur-Baïse, hier après-midi, sur une place de la mairie archicomble et en présence de nombreuses personnalités parmi lesquelles Marlène Germain, sous-préfète de Condom ; Philippe Martin, conseiller général du canton ; Gisèle Biémouret, députée ; Jean-Claude Peyrecave, vice-président du conseil régional ; Fatma Adda, conseillère régionale EELV ; Gérard Dubrac, maire de Condom, la quasi-totalité des maires de la communauté de communes de la Ténarèze, et du conseil municipal de Valence conduit par Marie-Thérèse Broca-Lannaud, 1re adjointe. La cérémonie a débuté par une minute de silence suivie de «La Marseillaise» interprétée par l'harmonie du Réveil valencien en présence d'un détachement du corps de sapeurs-pompiers, de la gendarmerie, des porte-drapeaux d'anciens combattants. Marie-Thérèse Broca-Lannaud, très émue, a évoqué ce camarade d'école jovial, cet homme d'action et de conviction qu'a été Bertrand Rambour. Jean-Claude Peyrecave, qui l'a connu sur les bancs du collège et du lycée à Condom, a rappelé «l'humaniste qu'on honore aujourd'hui». Gisèle Biémouret, Fatma Adda et Philippe Martin ont pris la parole pour saluer l'homme de cœur, de conviction et d'abnégation qu'était Bertrand. C'est la sous-préfète qui concluait : «Si je ne connaissais pas le maire que nous honorons aujourd'hui, un maire qui semble avoir vécu pour les autres, porté au firmament en mars 2014, je tiens, au nom de l'Etat, à présenter mes sincères condoléances.»


C'est au cimetière de Cassaigne, dans le caveau familial, qu'a été inhumé le maire de Valence.

A Perrine son épouse, Héloïse, Paul et Charlotte ses enfants, Ernest, Adèle, Manon et Gabriel, ses petits-enfants, à Jeanne sa maman, à toute sa famille, nous adressons nos sincères condoléances. «Adieu Bertrand, nous ne t'oublierons jamais, le chemin que tu as tracé, d'autres le continueront.»

Publié le 03/07/2014 à 08:55 par Daniel Da Silva

Dépêche du Gers

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 23:27
Lors du goûter citoyen de samedi./Photo DDM.

Lors du goûter Lors du goûter citoyen de samedi./Photo DDM.


Samedi 14 juin, à 15 heures, dans la cour de l'école élémentaire de L'Isle-de-Noé, se sont rassemblés de nombreux parents, enfants, villageois et élus autour d'un goûter citoyen. L'objectif était double : faire savoir qu'ils s'opposaient à la fermeture de la 4e classe à l'école du village et, plus largement, défendre la ruralité mise à mal par la nouvelle carte scolaire. Etaient présents pour les soutenir : le sénateur Raymond Vall, la conseillère régionale Fatma Adda, le conseiller général du Gers Robert Perrussan, le maire de L'Isle-de-Noé Patrice Dison, le maire de Saint-Jean-le-Comtal Eric Bonnet, un élu de Lasséran, la mairie d'Ordan-Laroque étant représentée par Mme Claverol. Les euro-députés avec qui le collectif des parents d'élèves de L'Isle-de-Noé s'est entretenu par téléphone et qui se sont engagés à écrire au ministre de l'Education Benoît Hamon pour soutenir l'action de L'Isle-de-Noé, sont Virginie Rozière, Robert Rochefort et Eric Andrieu.

Dépêche du Gers

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 10:23
Photographie
Ian Grandjean, coordinateur du concours, a insisté sur l'excellent cru de cette année. Les résultats complets sont sur imaj32.fr / Photo DDM, N.D.

Ian Grandjean, coordinateur du concours, a insisté sur l'excellent cru de cette année. Les résultats complets sont sur imaj32.fr / Photo DDM, N.D. 

L'association Imaj'32 organisait en mai la quatrième édition de son concours «Déclic». Ouvert à tous, sauf aux professionnels, seul ou en équipe de deux, 60 participants se sont affrontés sur cinq thèmes (quatre imposés et un facultatif). Les photos ont été réalisées dans un temps donné, sur la zone du Grand Auch. Hier soir, dans les locaux de l'association, un jury d'amateurs et de professionnels a récompensé le meilleur cliché de chaque thème par un tirage en 30x40 cm et un pass culturel pour deux personnes à Circa et pour le Pays d'art et d'histoire. Les heureux élus sont donc : Olivier Merlin («Illusions et réalité»), Jesse Overman («Au premier étage», Ilona Lepers et Caroline Lacomme («Avoir la patate»), Laurent Brun et Karine Ludinard («Patrimoine naturel et culturel») et Léa Chaudru («La nature reprend ses droits»). En parallèle, Imaj'32 célébrait ses 10 ans d'existence et la réception du «Photolab», une malette composée de dix tablettes et appareils photos numériques qui s'inscrit dans le projet Cyberbase du Grand Auch, avec le soutien financier de la Région. «C'est un moyen de sensibiliser le grand public à l'outil numérique», a souligné Fatma Adda, conseillère régionale.

Dépêche du Gers

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22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 21:00
Elections européennes 
Le Petit Journal | Politique | Fatma Adda sur le terrain pour la liste Europe-Ecologie/Les Verts (liste conduite par José Bové et Catherine Grèze)
(Fatma Adda sur le terrain pour la liste Europe-Ecologie/Les Verts (liste conduite par José Bové et Catherine Grèze))
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Samedi dernier, Fatma Adda (colistière de José Bové) candidate Europe-Ecologie/Les Verts pour le Gers, battait
la campagne notamment dans le quartier du Garros à Auch : « La Démocratie doit s’exercer par tout, il n’y pas
de zone qui ne soit pas concernée ! Et notamment pour cette élection : « Nous sommes tus des citoyens
européens ! » martèle-t-elle tout en soulignant : « La réalité c’est que sur bon nombre de dossiers majeurs
qui impactent votre vie quotidienne comme l’emploi, la finance, le réchauffement climatique, l’alimentation,
l’Europe est non seulement le bon mais le seul échelon pour vraiment changer les choses ! » Alors, effectivement,
les écologistes, conduits par José Bové veulent : défendre notre agriculture et protéger les consommateurs -
sauver le climat tout en créant des emplois notamment grâce à la transition énergétique - mettre fin au
pouvoir des multinationales (malgré les négociations « TAFTA ou TTIP » (projet de partenariat transatlantique
pour le commerce et l’investissement).
Et lors des différentes rencontres, sur le terrain ou dans des réunions, les candidats écologistes n’auront de
cesse de développer leur programme qui se décline en 10 enjeux et 20 propositions avec des idées fortes :
optimiser la transition énergétique, l’Europe sociale, combattre le communautarisme et dénoncer ces
négociations transatlantiques qui se déroulent en catimini « car nous ne voulons plus d’une Europe de
l’austérité. Nous voulons une Europe tournée vers la Démocratie et le citoyen ! ».                                                                                                                                                                                                                                                  A.L.
Le Petit Journal                                                

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 17:30
Publié le 10/05/2014 à 03:50, Mis à jour le 10/05/2014 à 08:07

Écologie

Fatma Adda, Patrice Dison, Philippe Le Goanvic et Henri Chavarot sont entourés des frères Blancafort et de militants EELV au milieu des turbines qui font fonctionner le moulin de L'Isle-de-Noé. / Photo DDM, Nedir Debbiche.

Fatma Adda, Patrice Dison, Philippe Le Goanvic et Henri Chavarot sont entourés des frères Blancafort et de militants EELV au milieu des turbines qui font fonctionner le moulin de L'Isle-de-Noé. / Photo DDM, Nedir Debbiche. 

La Fête de l'Europe (9 mai, N.D.L.R.), c'est à L'Isle-de-Noé qu'Europe-Ecologie - Les Verts (EELV) a décidé de la célébrer. Hier matin, Fatma Adda et Philippe Le Goanvic, tous les deux porte-parole d'EELV 32 «au nom de la parité», étaient en visite dans l'unité de production hydroélectrique des frères Blancafort, récemment remise aux normes. Installés depuis plus de trente ans dans le moulin situé au confluent de la Petite et la Grande Baïse, Gilbert, René et Raymond Blancafort produisent 160 kW qui alimentent 170 familles sur environ les 220 que compte la commune. «C'est une initiative locale qui est une belle réussite, c'est incontestable», souligne le maire Patrice Dison qui suit le projet quasiment depuis ses prémices. La Municipalité a engagé de gros travaux de rénovation des raccords au réseau, financés par ERDF et le syndicat d'énergie du Gers.

Une éléctricité de proximité

Car toute la force des Blancafort, c'est de produire «une énergie propre» mais surtout distribuée localement. Henri Chavarot, conseiller municipal EELV à Auch, insiste sur l'aspect de la proximité : «Quand on sait que 30 % des énergies se perdent lors du transport, c'est énorme…» Alors EELV soutient, encourage et même, promeut car comme l'a rappelé Philippe Le Goanvic, «le global, c'est le local.» Et avec les élections qui approchent (25 mai, N.D.L.R.), c'est une belle opportunité de rebondir sur les enjeux du scrutin. «Cette initiative locale participe au modèle de transition énergétique que l'on défend à l'échelon européen : une facture énergétique à 488 milliards, ce n'est juste plus possible. Telle qu'elle est aujourd'hui, cette Europe n'est pas la nôtre. Mais ne pas voter serait une erreur», précise la conseillère régionale et porte-parole EELV, Fatma Adda.

Présent hier au nom de «la vigilance environnementale», Alain Baudry des Amis de la Terre, une association de protection de la planète, rappelait également la pertinence de grouper ce genre de petites unités de production, en particulier sur la Baïse : «Ça aurait plus de poids, surtout auprès de l'Agence de l'eau pour les financements.» Les frères Blancafort n'ont pas sollicité de demandes d'aides et ont tout investi eux-mêmes. Gilbert, également élu municipal à L'Isle-de-Noé, regrettait d'avoir à payer autant de frais de dossiers qu'il ne fait de chiffres d'affaires. Soit aux alentours de 45 000,00 euros annuels. Entre les taxes et différents investissements, la famille arrive à vivre correctement. Et pense déjà à remettre aux normes deux autres sites. «Le Gers recense environ 200 moulins comme celui de L'Isle-de-Noé, il y a du potentiel», conclut Fatma Adda.

 

Dépêche du Gers                                                                                                                    G.J.

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25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 15:59
Journal la Dépêche du Gers
Publié le 25/04/2014 à 03:47

Élections européennes

Catherine Grèze et Fatma Adda ont sillonné le marché de la basse ville hier./ Photo DDM, S. Lapeyrère

 

«C'est toujours avec un grand plaisir que je viens dans le Gers.» Si ce n'est en pays conquis, Catherine Grèze

était en terre connue hier à Auch, aux côtés de Fatma Adda, la Mirandaise «fière de représenter la ruralité» sur

la liste Europe Écologie Les Verts menée dans le Sud-Ouest par José Bové, comme en 2009. Sur le marché de

l'avenue Hoche, la députée européenne, n.2 sur la liste EELV, est venue distribuer son journal de campagne, à

tout juste un mois du scrutin... mais aussi rendre des comptes aux électeurs. En toute transparence. «Je suis la

seule parlementaire nationale et européenne qui a publié sur son site internet l'intégralité des rentrées d'argent

liées à son mandat.» Catherine Grèze n'est pas une carriériste mais, à l'écouter, on sent bien que la fonction de

parlementaire européenne l'a passionnée ces cinq dernières années, et qu'elle signerait bien pour un nouveau

bail. «On espère au moins deux élus dans le Sud-Ouest, voire un troisième. Le leitmotiv de mon mandat, ç'a été

de rapprocher l'Europe du citoyen.» Or, Catherine Grèze a pu encore le vérifier hier matin sur le marché de la

basse ville : le citoyen lambda a une image négative de l'Europe.

«En réalité, ce sont les politiques européennes qui sont vues en négatif. À EELV, on est contre les politiques

d'austérité mais on est pour le cadre européen car on est persuadés que l'Europe est la bonne échelle pour

répondre aux problématiques d'aujourd'hui.» Dans la mandature à venir, Catherine Grèze et ses amis

écologistes ont fixé deux gros enjeux : «l'urgence climatique, avec le dernier rapport très alarmant rendu par les

experts du GIEC, et le TAFTA. Ce traité transatlantique, actuellement en discussion entre l'Europe et les

États-Unis, nous inquiète beaucoup. On nous le vend comme un traité commercial alors qu'en réalité, sous la

pression de multinationales, il s'agirait d'aplanir toutes les normes. Ainsi, le bœuf aux hormones ou le poulet

javellisé pourraient arriver en Europe et ce traité ouvrirait la voie aux OGM pour ne prendre que ces

exemples.» Au contraire, pour EELV, il s'agit de «placer l'humain au centre des préoccupations».

Si Fatma Adda a choisi de rejoindre la liste de José Bové, c'est parce qu'elle croit à «une Europe sociale,

environnementale où l'on respecte le vivant».

Dans le Gers, l'argument pourrait porter dans les urnes.

Réponse le 25 mai.

 
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25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 15:53

Catherine Grèze et Fatma Adda ont sillonné le Gers, hier.

Catherine Grèze et Fatma Adda, hier à Auch.© PHOTO 
PHOTO PHILIPPE BATAILLE / « SO»

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« S'il ne restait qu'une seule chose à faire, c'est encourager les gens à aller voter, dimanche 25 mai. » Catherine Grèze, deuxième sur la liste d'EELV menée par José Bové pour la circonscription Sud-Ouest, et Fatma Adda, sa seule représentante gersoise, ont martelé leur message, hier. Pour sa visite dans le Gers, un département qu'elle connaît bien, l'eurodéputée sortante n'a eu de cesse de rappeler le leitmotiv de son parti au niveau continental : « Rapprocher l'Europe des citoyens, leur soumettre les actes concrets réalisés en leur faveur et pour les protéger. »

Dans un contexte difficile pour les politiques, face à la perte de confiance de la population en ses représentants et la vision négative de l'action du Parlement européen, les deux candidates ont presque été surprises du bon accueil reçu sur le marché auscitain, en matinée.

Une vision politique

En bonne position sur une liste ouverte à la société civile, Catherine Grèze a fourbi ses arguments et affiche son bilan sans complexe : l'action en faveur des gens du voyage (avec notamment le soutien apporté au festival Welcome in Tziganie), des luttes dans le domaine des transports (contre la LGV, pour le développement du fret), la transition énergétique (gaz de schiste), l'agriculture (contre les OGM)… des thèmes qui portent la marque écologique, mais qui n'obèrent pas une vision politique européenne globale : « Ce n'est pas l'Europe en tant que telle qui supporte cette vision négative de la population, analyse la candidate venue de Toulouse. Mais ce sont ses politiques d'austérité. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut se replier sur un réflexe nationaliste, car c'est à cette échelle que nous pourrons relever les défis que nous impose la conjoncture actuelle. Il faut davantage d'Europe, mais une autre Europe. »

Un paradoxe

Catherine Grèze évoque ainsi une meilleure harmonisation de l'ensemble des États membres. Fatma Adda renchérit en s'imaginant une Europe où le politique et l'humain l'emporteraient sur le pouvoir économique. Et pour mériter à nouveau la confiance des citoyens, la restitution des travaux effectués au parlement, une totale transparence et le respect des engagements pris.

La Gersoise, à la fois conseillère régionale et opposée au cumul des mandats, déjoue d'ailleurs rapidement le paradoxe de sa candidature : « Dans ma position, il est fort peu probable que je sois élue. Mon engagement est donc davantage militant : je souhaite me battre contre l'abstention qui menace ce scrutin et représenter la ruralité au sein de cette liste. »

Une élection et un futur mandat pour lesquels EELV fixe deux gros enjeux : l'urgence climatique et la réussite de la transition énergétique ; la lutte contre le projet de zone de libre-échange transatlantique (TAFTA), « qui nous fait très peur, car il laisse le terrain libre aux multinationales qui pourront piétiner allègrement les lois édictées par un État, comme celles qui visent à interdire les OGM, l'exploitation du gaz de schiste, la commercialisation du bœuf aux hormones, etc. », conclut Catherine Grèze.

Fabien Jans 

Sud Ouest Gers

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 18:11

11/04/2014

CASTELNAU D'AUZAN

Biozan.JPG

Stéphanie proposait à la vente des plantes originales, des tomates précoces et des variétés de tomates anciennes.

Les 4 et 5 avril, à la salle polyvalente, a eu lieu le sixième salon Biozan. Le samedi après-midi, Fatma Adda, conseillère régionale EELV, est venue apporter son soutien à cette initiative et participer aux Assises locales du développement. Cette année, les thèmes du potager, des plantes médicinales et du petit élevage familial ont été développés. Un coin bourse aux plantes, tenu par les aînés de la commune, a permis d'échanger ou de récupérer des plantes. Les organisateurs reconduiront cette manifestation en 2015.

Sud-Ouest Gers

 

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 09:19

 

lycée agricole

A la demande des lycées, ils sont venus témoigner./Photo DDM. 

 

Les deux classes de terminale Bac Pro «Conduite et gestion d'une entreprise hippique» du

Lycée agricole de Valentées ont participé à un projet initié par l'équipe pédagogique :

«On les appelait les Harkis». L'objectif était de recueillir des témoignages de familles de Harkis

notamment celles qui ont vécu ou connu celui de Mirande. Des anciens appelés en Algérie ont

aussi été approchés pour apporter leurs expériences de cette guerre qui ne disait pas son nom.

Ces témoignages ont été illustrés par des productions artistiques, film documentaire, photos et

une installation plastique. Mais ces témoignages de ceux qu'on appelait «les Harkis» ont

provoqué une telle émotion qu'est venue l'idée d'en faire un recueil.

Ces écrits décrivent des souvenirs douloureux, éprouvants à la lecture mais aussi la dignité et

du courage de «ceux qu'on appelait les Harkis». Ils vivaient riches et heureux dans un pays

merveilleux, l'Algérie. Ils en ont été «arrachés». Certains avaient combattu dans l'armée

française lors de la Seconde guerre ont du faire des choix impossibles pendant «les événements

d'Algérie». Que devaient-ils faire ? Rejoindre l'armée de libération nationale du FLN ou l'Armée

française. Beaucoup de Harkis l'ont rejointe mais après le cessez-le-feu beaucoup, aussi ont été

massacrés. La France a autorisé leur retour en métropole. Dans le Gers notamment. Arrivés

dans des conditions matérielles difficiles avec des familles nombreuses, de 6 à 13 enfants

parfois, mal logés, peu de revenus, certains ne sachant ni lire ou écrire, certains n'ont pu

s'adapter mais d'autres ont su et pu trouver une place dans la société grâce à leur travail avec

le souci de faire suivre des études à leurs enfants.

Jeudi soir, au Lycée agricole, élèves et enseignants ont présenté leur travail de l'année devant

des Harkis qui ont témoigné dans ce projet. Cela permit de mieux connaître une période dont

«on ne parlait pas». Leur courage, leur dignité, leur fierté ont suscité émotion et admiration.

 

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